
Résumé
Pour améliorer l’accessibilité, pour les membres de FPInnovations, à la génomique dans l’identification des microorganismes qui colonisent le bois, nous avons comparé trois méthodes de métacodage à barres de l’ADN environnemental (ADNe) : clonage avec séquençage Sanger de première génération, métacodage à barres d’amplicons et séquençage Illumina de seconde génération et enfin, métacodage à barres d’amplicons et séquençage à lecture longue de troisième génération à l’aide du MinION portatif. Pour chaque méthode, nous avons examiné les coûts, la vitesse et la difficulté d’utilisation. Le métacodage à barres Illumina s’est avéré la méthode la plus réalisable sur le plan économique. Le clonage était difficile, étant sujet à l’échec et nécessitant beaucoup de recherches de problèmes. Le métacodage à barres Illumina doit être donné en sous-traitance, ce qui peut retarder l’achèvement du projet. Toutefois, peu de recherches de problèmes sont nécessaires à l’interne. Le séquençage de troisième génération est une option attrayante pour les analyses de routine. Il est rapide, peu coûteux et demande peu de capital de démarrage. Toutefois, ce n’est peut-être pas une option s’il est rarement utilisé en raison du temps d’apprentissage requis et de l’expiration rapide des cuves à circulation inutilisées. Pour des projets occasionnels, il est recommandé de sous-traiter le métacodage à barres d’amplicons à un établissement qui utilise des séquenceurs de seconde ou de troisième génération, y compris l’analyse des données.
Vous pouvez consulter ou télécharger le rapport à partir de la bibliothèque de recherche en ligne de FPInnovations.
Pour plus d’information sur le sujet, veuillez communiquer avec Rod Stirling, gestionnaire, Nouveaux matériaux de construction.





